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avertissementCe blog n'est pas un site pornographique. Cependant, il est composé de textes rédigés par un adulte qui ne s'auto-censure pas, et dans lesquels il peut être question de sexualité. For adults only. Sólo para adultos. 為成年人. Nur für erwachsene. Vuxna endast. Voksne bare. Alleen voor volwassenen. Solo per adulti. 大人のみ. только для взрослых. للكبار فقط

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14 décembre 2011 3 14 /12 /décembre /2011 11:59

Dans l’échelle de mes priorités, le bac n’occupait que la deuxième place, derrière Mathieu. Cette ultime année lycéenne fut marquée par la passion démentielle que je vouais à ce dernier. Il faut dire qu’il ne ménageait pas ses efforts pour me plonger dans un état permanent d’excitation. De l’intimité câline qu’il entretenait avec moi en classe de première, il se laissa glisser sensiblement, sans que je l’en empêchasse, vers une intimité d’ordre essentiellement sexuel.

Il semblait devenu incapable de s’adresser à moi sans passer la main sous son t-shirt qu’il soulevait négligemment pour dévoiler ses abdominaux. Dans la discrétion de ma chambre ou de la sienne c’est dans son pantalon qu’il laissait se promener ses doigts tandis que nous devisions de choses et d’autres. Quand il finissait, rapidement, par bander, il ne manquait pas une occasion d’interrompre notre conversation pour me montrer, à travers son jean ou son short de sport, ce que j’avais déjà remarqué sans son intervention. Même en classe, assez souvent, il me donnait des petits coups de coude à l’insu du prof, ce qui, par habitude, me faisait tourner les yeux vers son entrejambe ; alors, sous son pantalon, il remuer son pénis en érection contre sa cuisse, me lançant des regards complices qui me rendaient écarlate et m'invitant à tendre la main pour vérifier la fermeté de la chose. Si bien que, cette année-là, la vigueur de mes 19 ans aidant, je ne pensais plus qu’au sexe et ne débandais que rarement.

Un jour, avant le début des cours, Mathieu vint chez moi, profitant de l’absence de ma mère pour la matinée. Prétextant qu’il faisait chaud, il déboutonna largement sa chemise, puis se lamenta du peu de relief de ses pectoraux, pour mieux pêcher mes compliments.

– Arrête, tu as un super corps, dis-je.

– C’est vrai ? J’ai l’impression qu’il te plaît plus qu’à Marie.

– Marie est folle de toi, répliquai-je en laissant courir mon index sur son sein gauche. Celui-ci durcit instantanément, je crus défaillir de plaisir en constatant ce qu’un seul de mes doigts pouvait faire. Mathieu ricana et se leva précipitamment pour prendre quelque chose dans son sac à dos. Il me tendit une cassette VHS.

– Regarde, ce que j’apporte : un bon film de boules qu’un copain m’a prêté !

L’Empire des chattes ? C’est ridicule comme titre !

– Oui, mais dedans, il y a plusieurs scènes dans lesquelles deux potes s’occupent ensemble d’une fille. En voyant ça, j’ai imaginé que ça pourrait être nous deux. On a le temps d’en regarder un bout avant d’aller en maths...

Si j’avais déjà regardé, en cachette de mes parents, les films X de Canal + en crypté (en plissant les yeux jusqu’à en avoir mal aux arcades sourcilières), ce serait la première fois que j’aurais l’occasion d’en découvrir un avec une image contrastée décemment. Et aussi la première fois que je regarderais ce genre de film en compagnie de quelqu’un. Je n’hésitai pas davantage à étrenner l’antique télé et le magnétoscope toussotant, que j’avais la chance de posséder dans ma chambre, en y engouffrant la cassette qui démarra aussitôt. Mathieu et moi nous allongeâmes sur mon lit, côte à côte.

Il ne s’écoula que quelques images avant qu’il me confie : « J’ai un gourdin pas possible ! » Comme il m’y avait tacitement autorisé, j’observais la protubérance qui soulevait son jean. Que je regarde avec les yeux ne lui suffit pas, il prit ma main et la guida dans son pantalon. A travers le caleçon, je serrai son sexe entre mes doigts, comme pour m’assurer de sa dureté. « En effet, admis-je en retirant ma main, tu es très excité ! » C’était la première fois que je le touchais ainsi, avec tant d'insistance, si bien que je me sentis obligé de ne pas garder ma pensée pour moi : « Tu ne m’avais pas menti, tu es drôlement bien équipé ! » A son tour, il moula mon entrejambe avec sa main que je n’osai faire entrer sous mon pantalon. « Toi aussi, tu es gâté par la nature, s’exclama-t-il en riant ! » Peu sûr de moi, je ne savais comment interpréter son rire.

Sur l’écran, deux mecs entouraient une fille outrageusement maquillée qui s’abandonnait à eux. L’un avait un sexe nettement plus long que celui de l’autre.

– De nous deux, c’est moi qui te bats, déclara Mathieu.

– Qu’est-ce que tu en sais ?

Pour toute réponse, il fit descendre sa braguette, dégagea son pénis et se mit sur le côté, tourné vers moi. Son gland pourpre fit battre mon sang contre mes tempes. Je me tournai moi aussi vers lui, après avoir fait glisser mon pantalon sous mes bourses. Nos sexes auraient pu se toucher tant ils étaient près l’un de l’autre.

– Tu vois, la mienne est plus longue que la tienne, triompha-t-il.

– De quelques millimètres seulement. Et puis, je crois que la mienne est un peu plus grosse, non ?

– Mouais, peut-être.

Le mec qui avait la plus longue, après un long va-et-vient dans le vagin de la blonde vulgaire, éjacula à l’air libre, un jet si puissant qu’il toucha son copain qui se tenait à un mètre de lui.

– Un jour, je proposerai à Marie qu’on fasse ça tous les trois, et je t’arroserai pareil.

– Pas besoin de Marie, hasardai-je.

– Pédé ! s’esclaffa Mathieu.

Maintenant, la fille échevelée prenait les deux hommes simultanément en bouche. « J’en peux plus, râla Mathieu. Dommage que tu sois pas une nana, dit-il en s’emparant brutalement de mon paquet. Mais, tu as ce truc en trop. Si tu n’étais pas mon pote, je crois que je te couperais tout ça pour que tu deviennes ma meuf de secours. » Ces propos me faisant défaillir, j’ouvris largement les cuisses et lui dis : « OK. Fais ce que tu veux de moi. » Alors, il me retrouna sur le ventre, se coucha soudain sur moi et simula un mouvement de coït à travers mon pantalon, écrasant mes fesses avec vigueur. « Aïeuh ! Tu me fais mal, t’es con ! criais-je en le repoussant. » Nous rîmes de bon cœur. Pour cacher notre gêne.

Sans transition, il se cala contre mon oreiller, bien serré contre moi et se masturba frénétiquement, recouvrant sa queue de sa chemise à moitié ouverte. Rendu fou par son coude droit qui battait avec régularité mon flanc gauche, je fis de même. Il jouit enfin, avec un long gémissement viril. Il essuya son ventre et sa chemise avec quelques mouchoirs en papier, tandis que moi je continuais à me masturber. Sans accorder beaucoup d’importance à mon propre plaisir, il me dit : « Grouille-toi, on va être en retard en maths, et ta vieille pourrait rentrer ! » Il quitta ma chambre pour aller mettre ses chaussures. Si je n’avais pas encore joui, ce n’était pas faute d’être excité, loin de là, mais je ne parvenais pas à m’abandonner à l’orgasme. Jamais auparavant je n’avais partagé une telle intimité avec quelqu’un, et je me sentais terriblement gêné. Pour la première fois, je pressentais combien j’étais coincé et à quel point, malgré ce que je voulais bien croire, les choses du sexe me mettaient mal à l’aise.

C’est alors, qu’instinctivement, je trouvai comment déclencher mon éjaculation. Entendant Mathieu dans l’entrée de l’appartement téléphoner à Marie pour lui dire qu’il l’aimait, je me sentis assuré qu’il ne reviendrait pas dans la chambre dans l’immédiat. Je m’emparai des kleenex usagés qu’il avait laissé derrière lui, tout autour de mon lit, et me mis à sentir leur odeur âcre, puis à les porter à ma bouche. Mon orgasme soudain et violent me secoua tant et si bien que je ne pus ensuite me relever qu’avec difficulté, sous la pression de Mathieu qui, du couloir, faisait le compte à rebours avant le lancement du cours de mathématiques.

Nous arrivâmes en retard, transpirant à grosses gouttes, et les équations du second degrés nous passèrent au-dessus de la tête, tandis que nous échangions des regards qui n’avaient jamais été aussi complices. Dès lors, nous masturber devant un film X, souvent le même, devint un rite chaque fois que nous nous retrouvions dans l’intimité de ma chambre. Nous appelions cela « la pause ». Lorsque Mathieu, assis à mon bureau, posais son crayon et détournais mon attention de mon livre de géographie en me proposant « On fait une pause ? », nos braguettes ne tardaient pas à s’ouvrir.

Une autre de nos occupations préférées, encore dans ma chambre, avec le risque qu’un jour l’un de mes parents ne nous surprenne, était de mesurer notre force et de prouver à l’autre qu’il le dominait physiquement. Nous luttions farouchement, l’objectif, fixé par Mathieu, étant d’attraper les bourses de l’adversaire. Le vaincu devait alors admettre la supériorité de celui qui tenait le source de sa virilité au creux de sa main, sous peine que ce dernier ne serra de plus en plus fort les testicules jusqu’à obtenir la plus parfaite soumission. La plupart du temps, je laissais volontairement l’avantage à Mathieu. Il m’ordonnait de ne plus bouger. Je faisais exprès de lui désobéir pour mieux sentir ses doigts presser cette partie si sensible de mon anatomie. Quand il commençait à me faire vraiment mal, je ne bougeais plus et il se déclarait vainqueur. Un jour, Mathieu poussa même son attitude dominatrice jusqu’à signer son prénom avec un feutre juste au-dessus de mes poils pubiens.

Est-ce que ces jeux de combats m’exaltaient parce qu’ils me rappelaient les épreuves de lutte avec Antoine, le défi de l’aboiement avec Damien, ou bien parce que il était dans ma nature d’être excité en me sentant sexuellement dominé ?

Mes sens, ainsi aiguisés jusqu’à leur paroxysme, tranchaient les fils de ma raison. Je ne concevais plus Mathieu qu’à travers cette passion illimitée et démente dont seul un esprit adolescent est capable. Je ne vivais plus que dans l’attente des moments d’extases que nous partagions dans le secret de ma chambre. J’en devenais chaque jour un peu plus possessif et odieux, reprochant à mon compagnon de luxure de ne pas passer assez de temps avec moi, le boudant au moindre mot qu’il ne pesait pas suffisamment. J’étais terrifié à l’idée que la jolie Marie prenne l’avantage sur moi, je ne pouvais rivaliser avec quelqu’un qui avait des attributs qui ne seraient jamais miens. Et puis, il me paraissait « normal » qu’en tant que fille, ce soit elle, à long terme, qui passât davantage de temps avec Mathieu. Pourtant, étonnamment, malgré tout ça, je me refusais à envisager que j’étais homosexuel, je parvenais à me persuader que ce que j’éprouvais pour Mathieu découlais naturellement d’une profonde amitié que personne ne pouvait comprendre.

Agacé par mon comportement exclusif, Mathieu m’évita de plus en plus, sinon pour venir se masturber devant un porno, le mercredi après-midi, à son retour de chez Marie. Peu à peu la passion céda le pas à la souffrance. Une souffrance qui ne pouvait trouver d’apaisement dans le milieu familial toujours plus malsain : mes parents s’insultaient à longueur de temps ; mon père fêtait chaque jour sa rémission en se saoulant au vin rouge bon marché ; ma mère ne manquait pas une occasion de me rappeler que, tant que je vivrais sous son toit, majeur ou non, je devais lui rendre compte de mes moindres faits et gestes et ne pas rentrer au-delà de 19 heures. La seule façon de fuir, de ne plus entendre mes parents hurler de l’autre côté de la porte de ma chambre, c’était de subtiliser toujours plus de Lexomil dans la pharmacie de ma mère.

Il y avait les quarts de comprimé que je prenais quand la pression se faisait trop forte, et la réserve que je constituais dans ma chambre avec les quarts que je réussissais à ne pas avaler à force de volonté. Cette réserve, c’était « au cas où » l’armoire à pharmacie se tarirait. Je ne savais plus depuis quand j’en reprenais, mais je savais que je ne pouvais plus m’en passer pour affronter mes parents, mes pulsions contre-nature, la désaffection progressive de Mathieu et le bac qui approchait sans que je me sente capable de le préparer, tant mon cerveau s’essoufflait sous l’effet de la souffrance et du cercle-vicieux des anxiolytiques.

Quand je me retrouvais seul dans ma chambre, après les cours, c’était invariablement pour pleurer. Je pressentais que je devrais mettre un terme, d’une façon ou d’une autre, à cette insupportable douleur.

Mardi 2 mai 1995, la veille de mes vingt ans. Je savais qu’un gâteau préparé par ma mère m’attendait à l’appartement, je le lui avais demandé dans la perspective d’en manger au goûter avec Mathieu. Passer un peu de temps avec lui, sans avoir à attendre le lendemain après-midi son retour de chez Marie, c’est tout ce que je désirais pour mon anniversaire. Ce que je ne réussissais pas à obtenir de lui d’ordinaire – « Non, je viendrai chez toi mercredi, quand je rentrerai de chez Marie, promis. » – j’avais l’espoir de le lui soutirer à cette occasion. Comment aurait-il pu me refuser une heure ou deux de son temps, à quelques heures d’une journée aussi historique ? Il refusa.

– Non, je préfère aller faire un basket. Je viendrai chez toi demain, quand je rentrerai de chez Marie. On se fera « une pause ».

– Ah. Vous avez besoin d’un joueur pour le basket ?

– Tu sais que je t’adore, mais tu joues comme une brelle ! On se verra demain. Au fait, tu m’en voudras si j’ai pas de cadeau ? J’ai pas un rond. Je t’offrirai quelque chose plus tard.

– Non, ce n’est pas important.

– Sûr ! Tu es mon meilleur copain, je t’aime, alors pas de manières entre nous, ce n’est pas important une date.

Il me quitta en me faisant son clin d’œil irrésistible.

Je me sentis terriblement bien, serein comme je ne l’avais pas été depuis une éternité. L’avais-je un jour été à ce point ? Le soleil me paraissait plus éblouissant que jamais. En traversant la cité pour rentrer chez mes parents, j’avais conscience de la brise printanière sur mon visage, je sentais s’échapper d’une fenêtre une odeur de viennoiseries réchauffées au four pour le goûter, je passais devant mon école primaire en repensant à Adrian, mais aussi à Bahia que je ne voyais plus que rarement. Je saluais avec mon habituel sourire poli les voisins qui, régulièrement, congratulaient ma mère en lui disant que j’étais « un jeune homme gentil et bien élevé ». Ils allaient être drôlement étonnés, dans les jours qui viendraient, en apprenant que j’avais démissionné de leur monde parfait !

mathieu-4.jpg

 

Ce texte est © Jay. Toute reproduction interdite sans l’autorisation explicite de son auteur.

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commentaires

L
<br /> Je m'imisce mais je trouve aussi que c'est de mauvaise foi... Bon... ça n'engage que moi...<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> ^^<br />
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J
<br /> <br /> Je te laisse te débrouiller avec Erwann...<br /> <br /> <br /> <br />
E
<br /> Moi j'aime beaucoup tes textes. D'abord ils sont très bien écrits. Ils sont fluides.  Ensuite c'est très difficile de parler de sentiments et d'Eros en même temps. Tu le fais d'une<br /> manière magistrale. Un texte a beaucoup plus de force quand on suggère une partie des choses. C'est ce que tu fais. Rassure-toi, il n'y a absolument rien de choquant dans tes textes, je les<br /> trouve même teintés d'un zeste de pudeur, juste ce qu'il faut pour écrire une belle oeuvre  Tu n'as jamais pensé à<br /> écrire une nouvelle?<br /> <br /> <br /> Personellement je me retrouve dans les émotions que tu exprimes. Même si chaque histoire est différente et unique, elle a quelque-chose d'universel et c'est là où se trouve le sens de la<br /> publication: ceux qui ont vécu ce genre d'émotions sont rassurés, ils savent désormais que d'autres ont vécus des choses similaires. J'aime aussi l'idée de fidelité, je te souhaite de continuer<br /> la belle histoire que tu vis maintenant (sans la raconter celle-la car elle ne t'appartient que pour moitié?).<br /> <br /> <br /> Maintenant à propos du fait de se montrer (nu ou pas) sur le web, ne t'en fais pas, c'est le lot de bien des gens surtout d'artistes. A toi de voir tes limites et surtout les raisons qui te<br /> poussent à le faire, sans oublier d'en discuter avec ton compagnon, ni oublier tous les désagréments aussi que cela peut apporter genre fans trop collants ou acces définitivement barré pour une<br /> carrière politique . (Encore qu'il y a la chicco-chose italienne qui a fait une carrière politique avec Jeff Koons comme<br /> mentor). Moi j'ai mis le temps à sauter le pas et le plus intime je ne montre pas  Je ne prends pas de risques<br /> car j'ai vieilli depuis mes autoportraits, on ne risque plus de m'enlever ou alors on croira qu'il y a erreur sur la personne . Je te souhaite une belle et lumineuse route, cordialement<br />
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J
<br /> <br /> Bonjour Éric !<br /> <br /> <br /> Merci pour ton message, il me fait très plaisir. Que puis-je ajouter ? tu as si bien exprimé ma façon de penser !<br /> <br /> <br /> En revanche, regarde mieux : tu verras qu'il y a une rubrique "Contes et nouvelles" !<br /> <br /> <br /> <br />
E
<br /> Ignomigneux, cet olibrius lubrique !<br /> <br /> <br /> Dis donc, vous fîtent des conchoncetés, vous. C'est dégueu ça.<br />
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J
<br /> <br /> Bah dis donc, tu trouves pas ça "dégueu" quand c'est avec toi !<br /> <br /> <br /> <br />
L
<br /> Ola! Je ne veux pas savoir ce qui se passe dans l'intimité... ^^<br />
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J
<br /> <br /> Eh bien, tu sauras quand même !<br /> <br /> <br /> <br />
J
<br /> Finalement, je le trouve con ce Mathieu. En tout cas, pour l'instant, il n'a rien compris <br />
Répondre
J
<br /> <br /> Non, il n'était pas con, mais très immature et égoïste.<br /> <br /> <br /> <br />